De teint clair, avec
les yeux derrière sa paire de lunettes transparentes toujours presque rivées
sur sa tablette en dehors des heures de cours, « Barry cravate »
comme l’appellent communément ses camarades de la émiée promotion du Centre
d’Etudes des Sciences et Techniques de l’Information est de corpulence moyenne avec une barbe
apparente qui donne l’impression de ne
pas évoluer au fil des jours.
Du haut de son mètre
85, Amadou Woury Barry aime employer des mots savants, usage qu’il
justifie par le fait qu’il emploie différents registres de langues selon les
lieux. Raison pour laquelle, il est parfois qualifié de « pédant »
par ses camarades de classes. Le professeur de presse écrite, Djib Diedhiou l’a
surnommé « Barry compliqué ».
Barry a les nerfs à fleur de peau et est parfois sur la
défensive quant on le critique, il fait
comme s’il se suffisait à lui même.
Il est né le premier janvier 1991 à Abidjan et a
fait ses premiers pas dans la vie scolaire au complexe franco-arabe de
Treichville.
En 2004, Barry et sa famille quitte la Côte d’Ivoire à cause
de la crise ivoirienne pour se rendre en Gambie dans le quartier Kanifinc de
Banjul. C’est là ou le jeune Amadou Woury Barry intègre le lycée sénégalais de
Banjul de la cinquième à la Terminale. Son amour pour la radio lui avait valu
au lycée le sobriquet de « Barry Rfi ».
Après l’obtention de son Bac en série Licence 2, faute d’une
université française en Gambie, il est orienté à la faculté des Lettres et
Sciences Humaines au Département de Lettres Modernes de l’Université Cheikh
Anta Diop de Dakar. En 2010, sa Licence en poche, il se spécialise en
Linguistique.
Il est célibataire sans enfants . Actuellement, il est
étudiant en deuxième année au Cesti après avoir réussi au concours du niveau Licence.
Barry rédige en ce moment son mémoire en linguistique.
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